Merci à Péroline pour ce fantastique retour de lecture sur Le Jarwal. Il m'a particulièrement touchée :)
"Bonjour Madame Le Sausse, j'ai fini de lire votre livre "Le Jarwal" hier soir.
Je tiens à vous faire part de ma fascination pour cette histoire. J'avais l'impression de vivre l'aventure proche de Basile, un peu comme un second Jarwal, avec ses impressions de rejet, d'isolement, de méfiance, d'amour maternel, la perte des êtres chers, la fuite; tout un tas de questions qui trouvent leurs réponses au fur et à mesure.
L'histoire est très touchante, vivante. On apprend beaucoup de choses concernant les lois à l'époque. On ne devine pas ce qui va se passer au fil des pages et c'est magique et un peu angoissant à la fois. C'est la première fois que j'achète un livre digne de ce nom auprès d'un écrivain directement , je sais que cela date : c'était aux Vieilles Forges dans les Ardennes, j'ai pris le temps de me poser pour le lire et m'évader vivre dans un autre temps.
J'apprécie énormément ce que vous avez écrit. Je vous remercie infiniment pour ce merveilleux et mouvementé moment, passé à lire une histoire qui pourrait être réelle... Une fois la lecture commencée, on veut savoir absolument la suite, cela a provoqué beaucoup d'émotions. Je vous en remercie.
J'espère que vous continuerez à écrire pour nous permettre de nous évader à nouveau. Je vous adresse toutes mes amitiés, "
L'écriture comme passe-temps c'est prenant !
lundi 9 octobre 2017
lundi 25 septembre 2017
Les Aventuriales 2017
Coucou à tous !
Me voilà rentrée chez moi, enfin le retour s’est plutôt achevé
cette nuit à 2 heures du matin. Merci à la personne qui a parlé à côté de moi
du blocage de Paris prévu par les routiers aujourd’hui et m’a décidée à rentrer directement. Ce fut à
une allure d’escargot pour faire durer ce qu’il restait de gasoil dans ma
voiture. Paris à 1 heure du matin ! l’autoroute saturée, le périphérique
pareil et sur le chemin toutes les stations-service en automate (moi qui avais
oublié ma CB) et prises d’assaut. J’en ai eu des sueurs froides, m’imaginant en
panne sèche, mais j’y suis arrivée !
D’où est-ce que je venais ? Des Aventuriales de Ménétrol, bien sûr !
What else…
J’ai passé un week-end magique, je ne regrette pas les heures de route le vendredi avec, façon « mise en bouche », une dédicace à l’espace culturel
Leclerc de Bellerive sur Allier. Pas beaucoup de monde, mais un accueil
chaleureux, un groupe d’auteurs plus sympathiques les uns que les autres (vous
avez remarqué avec quel art, je zappe les noms ? Désolée, j’ai peur de me
tromper ou d’en oublier ) et une chef d’orchestre Luce Basseterre qui
s’est démenée comme chaque fois. Un gros merci à elle pour m’avoir conviée à
cette rencontre.
Le vendredi soir : crêperie. J’étais tellement fatiguée que je ne
me souviens plus de grand-chose sauf peut-être de Esthelle Faye qui a gentiment
« meublé » mon silence pendant que je conduisais pour y aller, de la galère pour me garer et de mes voisins de table avec qui j'ai essayé de parler dans le brouhaha de la salle.Les auteurs sont des bavards, bons vivants.
Ensuite ! Comment vous parler de la famille de Dominique Lémuri qui
a offert de me loger pour la durée de ce salon ? « la quatrième
dimension » est ce qui me vient en premier ou « sliders » avec
ses mondes parallèles, en second. Je n’ai pas osé le leur dire, mais maintenant,
je peux l’écrire : je n’ai pas compris le tiers des échanges qu’ils ont eu
entre eux. Ils sont géniaux, parents comme enfants, souriants, chaleureux, ils possèdent
un art de vivre que j’adore et envie un peu aussi, mais surtout, ils ont une
culture SFFF (sciences fiction) qui m’a laissée pantoise. Sébastien qui parle
en Klingon, mais « allo ! quoi ! » et encore pire Thierry
qui lui répond ! JP qui fait des vannes, quoi que j’en suis encore à me
demander si parfois c’était ça ou s’il parlait d’un truc hors de ma portée, et
Maxime. Ah ! Maxou, lui, j’en suis sûre, il vit la moitié du temps sur une
autre planète, mais réussit l’exploit d’intervenir de temps en temps dans la
conversation même en Klingon. Merci à vous tous, vous avez ensoleillé mes fins de soirée et
mes petits déjeuners (entre autres). Cela m’a fait beaucoup de bien. Et
félicitation à Roman (il comprendra 😉 )
Le salon maintenant :
Première personne à venir vers moi : Lilian Ronchaud, mon éditeur. Aie !
Avec toutes les fois où j’ai râlé au téléphone avec lui, j’ai un instant
de panique (genre une demi-seconde), car c’est en souriant qu’il s’approche et,
je confirme, sa gentillesse légendaire n’est pas une fiction.
J’ai pu faire connaissance avec les copains et les copines de L’Ivre-Book
(je préfère ne pas vous nommer, je vais en oublier, je me connais), ça a été un
vrai plaisir, même si je n’ai pas eu le temps de beaucoup papoter (sauf avec
Manon Elisabeth d’Ombremont qui était à côté de moi et Olivier Blanchon, situé de
l’autre côté, avec qui j’ai beaucoup échangé et bien rigolé).
Nathalie, la femme de Lilian était présente aussi, l’œil vigilant braqué sur
Lilian pour l’empêcher de trop en faire, et a été adorable. Vaël, illustratrice,
dont j’ai découvert les superbes couvertures, m’a offert sa première dédicace
(eh oui ! Vaël, les illustrateurs/ trices dédicacent aussi).
Bref, je vous embrasse tous, vous avez été super sympas avec moi.
Ensuite, ce fut un régal avec un salon bien organisé, bravo aux
organisateurs / trices, aux bénévoles (porteurs de tables, apporteuses d’eau,
buvette…). Tout a été parfait et j’ai passé deux journées extras. J’ai encore
loupé la plupart des conférences qui pourtant me faisaient de l’œil, mais comme
chaque fois : je me le promets, j’y assisterai l’année prochaine…
Les cosplays, les chanteuses et les musiciens aussi talentueux les uns
que les autres ont apporté une touche d’exotisme au salon, un dépaysement. Ah !
j’ai failli oublier les photographes qui ont presque réussi à me faire croire
que j’étais devenu célèbre.
Heureusement, mes amis de Cocyclics étaient là pour me ramener sur terre.
Je ne peux parler de vous tous, vous étiez trop nombreux derrière les tables à
dédicacer, mais je vous aime les grenouilles. Mention spéciale toutefois à Stéphane
Pavanelli et sa sublime maquette de Pyros, la ville de son roman.
J’ai retrouvé des « nordistes », bises à vous, et découvert les
souriants éditeurs de « les éditions de Londres » que j’espère revoir
bientôt. Bye !
Un salon ne serait pas un salon, sans les visiteurs / lecteurs. Merci
à toutes les personnes qui se sont arrêtées à mon stand et ont écouté mon laïus,
à celles qui sont restées ensuite pour discuter et/ou acheter mon roman, aux bloggeuses venues papoter, et un
immense coup de cœur pour toutes celles qui m’ont émue (à presque verser une
larme… je suis fière j’ai réussi à ne pas pleurer) en venant me dire combien
elles avaient aimé Le Jarwal, et avec qui j’aurais aimé pouvoir discuter plus
longuement.
À l’année prochaine !
mercredi 13 septembre 2017
mes prochains salons et dédicaces
* le 22 septembre 2017 à partir de 16 heures : dédicace à l'espace culturel Leclerc de Belleville sur Allier

* Les 23 et 24 septembre 2017 : les Aventuriales à Ménétrol

les 7 et 8 octobre 2017 : Lire en Soissonnais à Soissons (02)
https://www.facebook.com/lireensoissonnais/
* le 15 octobre 2017 : salon du livre de Ferrières en Bray (76)
* les 28 et 29 octobre 2017 : Valjoly'maginaire à Eooe-Sauvage (59)

samedi 2 septembre 2017
Nouvelle chronique sur le blog "Chez Bookinette"
Le Jarwal
Auteur : Patricia Le Sausse
Editions : Editions du Riez
Basile n’a pas choisi la vie d’exclu qu’il vit à cause du métier de son
père, bourreau dans le comté de Provence en cette année 1268. Il n’a pas
voulu non plus devenir son apprenti. Quand il découvre qu’il possède le
don de ressentir les émotions des gens qui l’entourent, de se les
approprier et de les retourner contre ceux qui le méprisent, tout
bascule.
Accusé de sorcellerie, poursuivi par un inquisiteur, agressé par des
sentiments qui ne lui appartiennent pas, il doit fuir pour retrouver son
clan. Tant qu’il n’aura pas réussi à maîtriser cette puissante
empathie, il sera menacé.
À moins qu’il ne décide de l’exploiter pour dominer les autres en manipulant leurs émotions...
Paru le 17 mai 2016
Mon avis :
Une histoire qui nous plonge dans le XIIIe siècle dans une famille. Gauvain le père est bourreau de son état, un métier qui met les siens à l'abri du besoin mais qui les met aussi au ban de la société...
J'ai trouvé absolument passionnant toute cette thématique autour de
cette fonction si décriée, il y a tout un tas de détails qui éclairent
le quotidien d'une famille qui ne vit pas tout à fait comme les autres.Une histoire qui nous plonge dans le XIIIe siècle dans une famille. Gauvain le père est bourreau de son état, un métier qui met les siens à l'abri du besoin mais qui les met aussi au ban de la société...
Le portrait de Gauvain est saisissant, il incarne la force, la solidité mais Basile lorsqu'il se découvre ce don précieux et encombrant : ressentir les émotions des autres, va percevoir sous cette apparence les failles et les blessures de son père. C'est très émouvant de voir ce jeune homme découvrir vraiment son père...
Basile se voit imposer un apprentissage auquel il ne peut se soustraire... en tant que fils de bourreau tout autre métier lui est désormais fermé. Il est réticent, se rebelle mais son destin est inexorablement tracé.
C'est l'époque de l'Inquisition toute puissante, des exécutions rapides et Patricia Le Sausse nous le rappelle dans un récit plein de cruauté que le don de Basile va mettre en exergue ....
Lors de son apprentissage, il va "vivre" sa première exécution à la place de la victime..... sentir l'exaltation de la foule enthousiaste devant le sang versé qui se retournera ensuite contre le bourreau qu'elle a encensé.... et tout va déraper... s'en suit moult péripéties.
J'ai beaucoup aimé ce mélange de réalisme cru et cette pointe de fantastique. C'est très judicieusement dosé et le tout donne un éclairage très intéressant sur l'époque. En outre, le don de Basile permet de rendre le récit sensible et les personnages attachants, Gauvain et lui-même en premier lieu, mais aussi Amaury, Clotaire, Héloïse.....etc..., il y a de bien jolis portraits esquissés.
La narration est servie par un style travaillé et sensible, des détails justes et bien choisis, un vocabulaire adéquate, riche qui assure le dépaysement temporel.
Quelques bémols cependant : j'ai trouvé quelques longueurs parfois, non pas dans les descriptions mais dans le déroulement des scènes qui se prolongent parfois un peu trop à mon goût, et puis surtout j'ai trouvé la fin trop ramassée avec une multitude de révélations, certaines très judicieuses, d'autres qui m'ont paru un peu excessives....
Mais pour finir, malgré mes quelques réserves, j'ai beaucoup aimé ma lecture , le thème singulier, l'éclairage historique passionnant, la pointe de fantastique originale, les personnages denses et humains !
Une mention particulière à la superbe couverture qui a attiré mon attention sur ce livre !
https://chezbookinette.blogspot.fr/2017/08/le-jarwal.html
samedi 19 août 2017
Chronique de Ptite elfe sur son blog
Merci pour ce beau travail Ptite elfe :)
Basile
n’a pas choisi la vie d’exclu qu’il vit à cause du métier de son père,
bourreau dans le comté de Provence en cette année 1268. Il n’a pas voulu
non plus devenir son apprenti. Quand il découvre qu’il possède le don
de ressentir les émotions des gens qui l’entourent, de se les approprier
et de les retourner contre ceux qui le méprisent, tout bascule.
L’histoire est à la fois contemplative avec des scènes d’exécutions qui peuvent parfois être difficiles à lire (surtout la première) , mais aussi active puisque nous découvrons le combat quotidien de Basile, sa fuite face à l’inquisiteur, et ses face à face avec son double qui fait son apparition et nous fait nous poser de nombreuses questions.
En bref, le jarwal est une histoire qui m’a enchantée aussi bien pour
l’époque médiévale dans laquelle ça se déroule, pour le langage et le travail
de recherche fournis par l’autrice, et pour son personnage principal pour
lequel j’ai été attachée dès le début de l’histoire. Le fait que cela se passe
en Provence était aussi très dépaysant pour moi, et j’ai aimé en apprendre un
petit peu sur cette période de l’Histoire, même si les références restent légères, mais suffisantes pour planter le décor.
http://www.leblogdeptitelfe.fr/2017/08/le-jarwal-de-patricia-le-sausse.html
LE JARWAL, DE PATRICIA LE SAUSSE #FANTASTIQUE #MEDIEVAL #RLN2017

Accusé de sorcellerie, poursuivi par un inquisiteur, agressé par des
sentiments qui ne lui appartiennent pas, il doit fuir pour retrouver son
clan. Tant qu’il n’aura pas réussi à maîtriser cette puissante
empathie, il sera menacé.
À moins qu’il ne décide de l’exploiter pour dominer les autres en manipulant leurs émotions…
Le jarwal nous entraîne en Provence en 1268. Nous
rencontrons et suivons Basile, un adolescent de 17 ans, fils
d’exécuteur, qui a
la capacité de ressentir les émotions des gens autour de lui. Mais son
empathie
prononcée va lui jouer de mauvais tours lors de la mise à mort d’une
femme, considérée comme une sorcière. Suite à cela, Basile va devoir
fuir sa
maison, abandonner ses parents et partir à la recherche d’un clan qui
pourrait
l’aider à mieux maitriser son pouvoir.
Basile est un adolescent que j’ai pris plaisir à suivre. En
effet, il a pas mal de nuances, à commencer par un gros manque de
confiance en
lui, qu’il apprendra à acquérir au fil de son aventure. Basile, en tant
que
fils de « bourreau » a toujours été exclus de la société. A l’époque,
les exécuteurs étaient considérés comme maudits et comme fils de
l’enfer. Basile a donc été victime de moqueries et railleries tout au
long de son enfance et de son adolescence. Mais ce n'est pas un Calimero
pour autant...
Non seulement le fait de devoir prendre un nouveau chemin en
cachant qui il est va lui permettre de gagner en confiance, mais
l’apprentissage de son pouvoir d’empathie va aussi le pousser à développer
maturité et charisme.
Petit à petit, nous découvrons Basile en pleine transition
pour le voir déployer ses ailes pour devenir adulte, s’ouvrir aux personnes
extérieures et apprendre à faire confiance.
Les personnages secondaires récurrents ne sont pas très nombreux, et
j’ai apprécié que Patricia Le Sausse leur donne des prénoms de l’époque…
Clotaire, Amaury, Héloïse, …tous ces noms m’ont enchanté et cela m’a permis de
poursuivre mon immersion dans cet univers que j’ai particulièrement apprécié
également pour ses paysages et aussi pour l’époque dans laquelle l’histoire se
déroule.
Partir en Provence à l’époque médiévale pour découvrir une
histoire fantastique, voilà qui ne pouvait que m’emporter !
Tout se déroule entre Arles et les Alpilles, et l’autrice nous
sert de temps en temps des références historiques, notamment avec les croisades
et ce qui a pu se produire à cette époque. Ainsi, j’ai été ravie d’enrichir,
grâce à elle, ma culture personnelle sur Aigues Mortes ou sur Louis IX…
De plus, j’ai pris plaisir à découvrir l’investissement
qu’elle a fourni, puisqu'elle utilise du jargon provençal médiéval et toutes
ses descriptions nous offre des paysages du sud aux odeurs de Lilas et de foin.
C’était dépaysant et j’ai vogué dans de merveilleux paysages en campagne ou
dans les villes.
L’histoire est à la fois contemplative avec des scènes d’exécutions qui peuvent parfois être difficiles à lire (surtout la première) , mais aussi active puisque nous découvrons le combat quotidien de Basile, sa fuite face à l’inquisiteur, et ses face à face avec son double qui fait son apparition et nous fait nous poser de nombreuses questions.
Tout le long du récit, on le voit en pleine discussion
intérieure avec cet autre. Qui est-il ? D’où sort il ? Est il son
autre qui peut lui permettre de maitriser son pouvoir ? De lui donner du
courage ? Des réponses ? Tant de questions qui trouvent leurs
solutions durant le récit.
Le jarwal, enfin, est une histoire de famille que j’ai pris
plaisir à découvrir petit à petit. Les fils se dénouent au fil de l’histoire et
j’ai été surprise de toutes ces révélations.
Cependant, je dois cependant parler d’un passage qui m’a
paru confus. Et cela se passe dans les 40 dernières pages, au moment où les
révélations arrivent. J’ai trouvé ce passage non fluide, il m’a fallu m’y
reprendre à plusieurs reprises pour bien comprendre, j’ai ressenti beaucoup de
confusion et tout n’était pas clair. Après coup, j’ai bien tout compris mais
après un tel récit et une si belle écriture, j’aurai aimé que la fin soit aussi
agréable et compréhensive que le reste du roman.
J’ai eu l’occasion d’échanger avec Patricia Le Sausse durant
ma lecture, et j’ai ainsi appris qu’elle allait sortir un autre roman chez
l’Ivre book en septembre et dont l’histoire se déroulera en 1348. Je pense donc
être au rdv pour découvrir ce roman et retrouver la plume et l’ambiance bien
marquante de cette autrice.
http://www.leblogdeptitelfe.fr/2017/08/le-jarwal-de-patricia-le-sausse.html
mercredi 2 août 2017
un commentaire qui m'a particulièrement touchée !
Bonsoir tout le monde,
D’habitude, je vous invite à lire les chroniques faites sur Le Jarwal, mais pour une fois, je vais vous faire découvrir un mail envoyé ce week-end.
En voici le texte :
« J’ai adoré ce livre : la façon dont vous écrivez est très agréable à lire malgré les mots compliqués, les petits astérisques en bas des pages sont nombreux et ça aide beaucoup, il y a juste assez de descriptions ni trop ni pas assez. On a l’impression d’être dans le roman, de ressentir les émotions de Basile.
Ce livre est vraiment génial (même s’il est triste) c’est un de mes livres préférés !
Merci pour le magnifique voyage que m’a offert ce roman !!!!!!!!! »
Pourquoi ce mail, vous demandez-vous ? Eh bien, parce que celui-ci est spécial.
Pas dans son contenu, et je remercie encore tous ceux qui me disent combien ils ont aimé mon roman, mais vis-à-vis de celui qui me l’a écrit.
Il a 11 ans (oui, vous avez bien lu !) et se prénomme Mathis. Déjà, il a dû insister, car j’étais un peu gênée de lui vendre mon roman (considéré plutôt comme YA/Adultes) et si ses parents ne l’avaient pas appuyé, j’aurais trouvé une excuse pour ne pas le lui vendre, persuadée qu’il était trop jeune.
Je dois avouer qu’il m’a depuis bien épatée, puisqu’il a lu le livre en une petite semaine et m’a fait ce retour que je trouve très mature.
De plus, il est le seul à avoir mentionné la tristesse qui se trouve en arrière-fond de l’histoire. Elle est mienne, je l’assume et je suis touchée que ce jeune homme l’ait ressentie.
Merci à lui, et à bientôt, je l’espère, sur un autre salon.
vendredi 28 juillet 2017
Le Jarwal - changement d'éditeur
Bonjour à tous,
Suite à des "soucis de la vie" de son premier éditeur "Les éditions du Riez" (que j'embrasse au passage) , Le Jarwal est repris par les éditions L'Ivre-Book (que je remercie très fort).
Il sera à partir du 29 juillet 2017 disponible en e-book ici :
http://www.livre-book-63.fr
et sur toutes les autres plateformes numériques. :)
Vous pourrez ensuite le trouver en livre papier, dès le début septembre, sur les salons, sur L'Ivre-Book, et tous les autres...
Suite à des "soucis de la vie" de son premier éditeur "Les éditions du Riez" (que j'embrasse au passage) , Le Jarwal est repris par les éditions L'Ivre-Book (que je remercie très fort).
Il sera à partir du 29 juillet 2017 disponible en e-book ici :
http://www.livre-book-63.fr
et sur toutes les autres plateformes numériques. :)
Vous pourrez ensuite le trouver en livre papier, dès le début septembre, sur les salons, sur L'Ivre-Book, et tous les autres...
Inscription à :
Articles (Atom)