Coucou à tous !
Me voilà rentrée chez moi, enfin le retour s’est plutôt achevé
cette nuit à 2 heures du matin. Merci à la personne qui a parlé à côté de moi
du blocage de Paris prévu par les routiers aujourd’hui et m’a décidée à rentrer directement. Ce fut à
une allure d’escargot pour faire durer ce qu’il restait de gasoil dans ma
voiture. Paris à 1 heure du matin ! l’autoroute saturée, le périphérique
pareil et sur le chemin toutes les stations-service en automate (moi qui avais
oublié ma CB) et prises d’assaut. J’en ai eu des sueurs froides, m’imaginant en
panne sèche, mais j’y suis arrivée !
D’où est-ce que je venais ? Des Aventuriales de Ménétrol, bien sûr !
What else…
J’ai passé un week-end magique, je ne regrette pas les heures de route le vendredi avec, façon « mise en bouche », une dédicace à l’espace culturel
Leclerc de Bellerive sur Allier. Pas beaucoup de monde, mais un accueil
chaleureux, un groupe d’auteurs plus sympathiques les uns que les autres (vous
avez remarqué avec quel art, je zappe les noms ? Désolée, j’ai peur de me
tromper ou d’en oublier ) et une chef d’orchestre Luce Basseterre qui
s’est démenée comme chaque fois. Un gros merci à elle pour m’avoir conviée à
cette rencontre.
Le vendredi soir : crêperie. J’étais tellement fatiguée que je ne
me souviens plus de grand-chose sauf peut-être de Esthelle Faye qui a gentiment
« meublé » mon silence pendant que je conduisais pour y aller, de la galère pour me garer et de mes voisins de table avec qui j'ai essayé de parler dans le brouhaha de la salle.Les auteurs sont des bavards, bons vivants.
Ensuite ! Comment vous parler de la famille de Dominique Lémuri qui
a offert de me loger pour la durée de ce salon ? « la quatrième
dimension » est ce qui me vient en premier ou « sliders » avec
ses mondes parallèles, en second. Je n’ai pas osé le leur dire, mais maintenant,
je peux l’écrire : je n’ai pas compris le tiers des échanges qu’ils ont eu
entre eux. Ils sont géniaux, parents comme enfants, souriants, chaleureux, ils possèdent
un art de vivre que j’adore et envie un peu aussi, mais surtout, ils ont une
culture SFFF (sciences fiction) qui m’a laissée pantoise. Sébastien qui parle
en Klingon, mais « allo ! quoi ! » et encore pire Thierry
qui lui répond ! JP qui fait des vannes, quoi que j’en suis encore à me
demander si parfois c’était ça ou s’il parlait d’un truc hors de ma portée, et
Maxime. Ah ! Maxou, lui, j’en suis sûre, il vit la moitié du temps sur une
autre planète, mais réussit l’exploit d’intervenir de temps en temps dans la
conversation même en Klingon. Merci à vous tous, vous avez ensoleillé mes fins de soirée et
mes petits déjeuners (entre autres). Cela m’a fait beaucoup de bien. Et
félicitation à Roman (il comprendra 😉 )
Le salon maintenant :
Première personne à venir vers moi : Lilian Ronchaud, mon éditeur. Aie !
Avec toutes les fois où j’ai râlé au téléphone avec lui, j’ai un instant
de panique (genre une demi-seconde), car c’est en souriant qu’il s’approche et,
je confirme, sa gentillesse légendaire n’est pas une fiction.
J’ai pu faire connaissance avec les copains et les copines de L’Ivre-Book
(je préfère ne pas vous nommer, je vais en oublier, je me connais), ça a été un
vrai plaisir, même si je n’ai pas eu le temps de beaucoup papoter (sauf avec
Manon Elisabeth d’Ombremont qui était à côté de moi et Olivier Blanchon, situé de
l’autre côté, avec qui j’ai beaucoup échangé et bien rigolé).
Nathalie, la femme de Lilian était présente aussi, l’œil vigilant braqué sur
Lilian pour l’empêcher de trop en faire, et a été adorable. Vaël, illustratrice,
dont j’ai découvert les superbes couvertures, m’a offert sa première dédicace
(eh oui ! Vaël, les illustrateurs/ trices dédicacent aussi).
Bref, je vous embrasse tous, vous avez été super sympas avec moi.
Ensuite, ce fut un régal avec un salon bien organisé, bravo aux
organisateurs / trices, aux bénévoles (porteurs de tables, apporteuses d’eau,
buvette…). Tout a été parfait et j’ai passé deux journées extras. J’ai encore
loupé la plupart des conférences qui pourtant me faisaient de l’œil, mais comme
chaque fois : je me le promets, j’y assisterai l’année prochaine…
Les cosplays, les chanteuses et les musiciens aussi talentueux les uns
que les autres ont apporté une touche d’exotisme au salon, un dépaysement. Ah !
j’ai failli oublier les photographes qui ont presque réussi à me faire croire
que j’étais devenu célèbre.
Heureusement, mes amis de Cocyclics étaient là pour me ramener sur terre.
Je ne peux parler de vous tous, vous étiez trop nombreux derrière les tables à
dédicacer, mais je vous aime les grenouilles. Mention spéciale toutefois à Stéphane
Pavanelli et sa sublime maquette de Pyros, la ville de son roman.
J’ai retrouvé des « nordistes », bises à vous, et découvert les
souriants éditeurs de « les éditions de Londres » que j’espère revoir
bientôt. Bye !
Un salon ne serait pas un salon, sans les visiteurs / lecteurs. Merci
à toutes les personnes qui se sont arrêtées à mon stand et ont écouté mon laïus,
à celles qui sont restées ensuite pour discuter et/ou acheter mon roman, aux bloggeuses venues papoter, et un
immense coup de cœur pour toutes celles qui m’ont émue (à presque verser une
larme… je suis fière j’ai réussi à ne pas pleurer) en venant me dire combien
elles avaient aimé Le Jarwal, et avec qui j’aurais aimé pouvoir discuter plus
longuement.
À l’année prochaine !
^^ J'adore l'impression que nous t'avons laissée ! :) tu es la bienvenue pour reprendre quelques cours de Klingon à l'occasion ! Des bises, chère Patricia !
RépondreSupprimerLe klingon... hum ! Je ne sais pas, mais revenir boire un de tes bons thés et vous revoir... oui ! oui ! oui ! Ce sera avec plaisir :)
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