L'écriture comme passe-temps c'est prenant !

jeudi 14 avril 2016

C'est avec beaucoup d'émotions que je vous annonce que mon dernier roman Le Jarwal va sortir aux éditions du Riez. La date de parution est le 16 mai 2016, mais les pré-commandes sont déjà ouvertes.



Pitch :

Basile n'a pas choisi la vie d’exclu qu'il vit à cause du métier de son père, bourreau dans le comté de Provence en cette année 1268. Il n'a pas voulu non plus devenir son apprenti. Quand il découvre qu'il possède le don de ressentir les émotions des personnes qui l’entourent, de se les approprier et de les retourner contre ceux qui le méprisent, tout bascule.
Accusé de sorcellerie, poursuivi par un inquisiteur, agressé par des sentiments qui ne lui appartiennent pas, il doit fuir pour retrouver son clan. Tant qu'il n'aura pas réussi à maîtriser cette puissante empathie, il sera menacé. À moins qu'il ne décide de l'exploiter pour dominer les autres en manipulant leurs émotions…

 

dimanche 7 février 2016

Bonne nouvelle !

Le Jarwal dont je vous parlais dans mon précédent article (daté de 2013,... hum ! sans commentaire) a été accepté par les éditions du Riez.
Sa publication est prévue pour le 16 mai 2016.

Le Jarwal



Nouveau
19,90 €

    Le Jarwal

    Roman de Patricia LE SAUSSE
    Collection Brumes Etranges
    Parution : 16 mai 2016
    Format : 23,5 cm x 15,5 cm – 370 pages
    Illustration de couverture : David LECOSSU

     

    4ème de couverture

    Basile n’a pas choisi la vie d’exclu qu’il vit à cause du métier de son père, bourreau dans le comté de Provence en cette année 1268. Il n’a pas voulu non plus devenir son apprenti. Quand il découvre qu’il possède le don de ressentir les émotions des gens qui l’entourent, de se les approprier et de les retourner contre ceux qui le méprisent, tout bascule.
    Accusé de sorcellerie, poursuivi par un inquisiteur, agressé par des sentiments qui ne lui appartiennent pas, il doit fuir pour retrouver son clan. Tant qu’il n’aura pas réussi à maîtriser cette puissante empathie, il sera menacé.
    À moins qu’il ne décide de l’exploiter pour dominer les autres en manipulant leurs émotions…

    Dans la presse…

    et retrouvez d’autres avis sur les blogs, les sites ou les journaux suivants : bientôt…

    Biographie

    Patricia Le Sausse est née en juillet 1960 à Paris. Après une enfance faite de débrouillardise et de bêtises dans les rues de la capitale, elle a passé une adolescence plutôt studieuse dans la verte Picardie où elle a cultivé un besoin de solitude récurrent en l’alimentant de lectures en tout genre.
    Devenue maître d’œuvre, pilote de chantier, elle a développé, lors des longs trajets pour se rendre sur ses lieux de travail, le goût des histoires inventées pour passer le temps. Mis à part cette facilité à enjoliver la réalité, qu’elle tient sûrement de ses jeunes années passées à tenter de convaincre les adultes qu’ils se trompaient de coupable, elle ne peut pas se targuer d’avoir eu l’envie d’écrire dès l’adolescence ou d’avoir noirci des pages de cahier mue par une impérieuse nécessité.
    Non, rien de tout ça ! Ce n’est que sur le tard, une fois ses quatre enfants grands qu’elle s’est désolée d’avoir perdu la plupart de ces contes dont ne lui restait que l’idée qu’ils étaient plutôt « pas mal ».
    À ceux qui lui demandent, aujourd’hui, pourquoi elle écrit, la seule réponse qu’elle peut leur donner est : « parce que ce jour-là, je me suis dit : pourquoi pas ?”


    Vous pouvez le retrouver ici :
    http://www.editionsduriez.fr/boutique/nouveautes/le-jarwal/


    lundi 21 octobre 2013

    Mea-culpa !

    Désolée mon cher blog, je t'ai un peu (beaucoup) oublié. La faute à une vie trop active à tous points de vue (la belle excuse) et surtout une grosse fainéantise.
    Allez sans rancune !
    Je t'ai mis à jour.
    Les premières lignes de mes trois romans terminés se trouvent en page annexe :
    - la brume des ténèbres (livre 1 de l'héritage des orphelins)
    - l'ultime offrande (livre 2 de l'héritage des orphelins)
    - Ilyan et le cercle de la destinée.

    Tu veux savoir ce qui m'occupe tant ?
    L'écriture d'un nouveau roman, pardi ! ça t'étonne ?
    L'histoire se déroule en Provence au 13e siècle.

    En voici le résumé :

    LE JARWAL
     
    "Le Jarwal est un individu possédant une empathie poussée à l’extrême. Il ressent les sentiments d’autrui, les apprivoise, se les approprie et les réutilise comme bon lui semble. Il peut ainsi modifier les comportements et manipuler ceux qui s’opposent à lui.
    Cette faculté met Basile dans une position très dangereuse quand, au sortir de l’adolescence, elle se révèle à lui. Dans cette Provence moyenâgeuse, son don est assimilé à de la sorcellerie.
    Commence alors une course poursuite entre un inquisiteur qui veut l'attraper pour le questionner et Basile qui se retrouve assailli par les sentiments des personnes qu’il croise dans sa fuite. S’il n’arrive pas à maîtriser son don, il sera submergé et sombrera dans la folie.
    La solution se trouve dans ses origines. Sa mère lui a dit avant de mourir de retrouver Clotaire. Cet homme, qui fait partie des Rosgols, se trouve dans une communauté près d'Arles.
    (Les Rosgols possèdent également la capacité de s’approprier les sentiments d’autrui, mais sans pouvoir les maîtriser. Ce sont des réservoirs à la disposition des Jarwals. Transformés en esclaves, ils vivent dans une châtellenie dans l’attente des ordres de leur maître.)
    Quand Basile les rejoint, il ignore qu’il vient de sceller son destin. Il va devoir faire les bons choix pour délivrer ce peuple qui est le sien. Sa confrontation avec leur seigneur, Jarwal comme lui, qui les domine et les maintient dans un servage forcé devient inéluctable, mais ce dernier n’est pas son seul ennemi. Les sentiments qui le suivent partout, attendant qu’il les utilise, ne sont pas inertes et cherchent à imposer leur propre loi.
    Basile va devoir se battre contre lui-même autant que contre son pire ennemi."

    J'en suis au tiers de l'écriture. Mes recherches sur le moyen-âge, la Provence, le provençal et la région des Baux me prennent beaucoup de temps, mais elles sont passionnantes.

    J'aimerais bien aussi pouvoir faire des chroniques des livres que je lis et les partager ici. Ce sera pour bientôt, je l'espère !

    dimanche 11 novembre 2012

    Où j'en suis - Clap 2

    Pour le moment, j'ai décidé de marquer une pause dans les corrections du cycle "L'héritage des orphelins".
    Le livre 1 "la brume des ténèbres" a reçu l'estampille CoCyclics. Je l'ai envoyé aux éditeurs et j'attends des réponses.
    Le livre 2 "L'ultime offrande" est finalisé lui aussi.
    J'entamerai les corrections des livres 3 et 4 dès début janvier 2013.
    Pour me changer les idées, je me suis lancé le défi d'écrire un one-shot et de le terminer / corriger pour la fin de l'année.

    Je vous présente : "Ilyan et le cercle de la destinée"

    Voici le pitch :

    "Ilyan aurait dû refuser ce médaillon. Cela lui aurait évité de se retrouver projeté 300 ans en arrière au moment où son ancêtre, le roi Jacobus, était assassiné. Son arrivée sur la scène du crime permet au véritable assassin de s'échapper, fait accuser un innocent et place Ilyan dans la position du témoin à éliminer. Voilà qui est déjà embêtant. Mais quand il constate qu'en intervenant dans le passé il a complètement modifié son présent et mis des êtres chers dans des conditions de vie insupportables, il panique. Il va devoir retourner enquêter pour découvrir l'assassin de son aïeul sans se faire tuer et sans aggraver ce qui a déjà été mis à mal. Si seulement, il n'était pas si maladroit et malchanceux !"

    Douze chapitres sur seize sont d'ores et déjà écrits. Je tiens mes délais.

    lundi 1 octobre 2012

    Estampille CoCyclics

    La brume des tenèbres fait partie des romans estampillés CoCyclics.

    jeudi 9 août 2012

    Tome 1... terminé !

    Le tome 1 de l'héritage des orphelins, intitulé "la brume des ténèbres" est terminé.
    6 mois d'écriture pour le premier jet, 2 ans de correction... réécriture... correction.
    La version définitive fait 428 215 cec, 72870 mots et 183 pages en format A4.

    Voici le pitch :

    "   Une brume maléfique se répand sur Ostrakios, monde où ont été exilés les ancêtres de Gaëlle, Erwan et Loïc. Elle engloutit et tue ceux qui croisent son chemin.

    Placés en première ligne malgré eux, ces trois adolescents vont devoir la combattre. Mais rien ne les a préparés à assumer une telle responsabilité.
    Gaëlle sortira-t-elle du cocon familial pour se confronter à la dure réalité de la vie ? Erwan arrêtera-t-il de s’amuser aux dépens des autres pour penser à l’avenir ? Quant à Loïc cessera-t-il de considérer la magie comme une ennemie pour s’en faire une amie ? Autant d’étapes à franchir, de décisions à prendre, de risques à affronter.
    Mais surtout sauront-ils utiliser leurs pouvoirs pour combattre ? Rien n’est moins sûr ; personne ne peut les aider. Personne ! Enfin, parmi les vivants… Ce monde cache bien des secrets, se révèlera-t-il leur meilleur allié ? "

    lundi 4 juin 2012

    Epinal 2012 : Les Imaginales

    Petit compte-rendu pour ceux qui n’ont pas pu venir. Sous la forme d’un abécédaire :
    A comme arrivée : le vendredi matin après un détour par Paris pour aller chercher Siècle Vaëlban, cinq heures de route et des papotages à n’en plus finir, nous voilà arrivées à bon port ou plutôt à Épinal, car de ce côté-ci de la France il n’y a pas beaucoup de plages.

    B comme bonheur : Un ciel gris nous attendait et un crachin s’était aussi invité à la fête. Le pique-nique du vendredi midi semblait compromis, mais que nenni après un coup de fil à Takisys l’organisatrice prévoyante de cette réunion nous nous sommes dirigées vers… le bar. Pas la mare, non le bar, mais c’était tout comme ! Elles étaient là, les Grenouilles. Leur sourire et leur accueil m’ont été droit au cœur. Enfin chez soi !

    C comme conférences : à peine le temps de se délecter du repas, mais surtout des retrouvailles avec des personnes trop longtemps éloignées, de discuter un peu que d’autres attraits m’ont appelée. Le plus de ce festival se nomme conférences. Il y en a pour tous les genres, tous les goûts, toutes les affinités et aucune n’est obligatoire… Cette année il y avait au programme la bit-lit, les loups-garous, les dragons, la Fantasy sous toutes ses formes, la révolution, la guerre d’Algérie et encore bien d’autres. Impossible d’assister à toutes, mais la plupart ont été filmées et devraient donc être visibles sur le site des Imaginales.

    D comme dédicaces : Que serait un festival sans les grenouilles en dédicaces ? Pas vraiment une morne plaine, mais un endroit orphelin sans aucun doute (au moins pour moi). Quel plaisir de découvrir au long de ma promenade dans les allées Thomas John, NB (Nadia Coste), Nessae, Celia, Samantha, Christophe (J’en oublie peut-être et leur demande pardon d’avance).

    E comme écriture : mon regret sur ces Imaginales : ne pas avoir pu participer aux ateliers d’écriture. Any m’en a parlé et d’autres aussi et ils m’ont tous donné l’impression d’en avoir retiré une belle expérience et une irrésistible envie de se jeter à nouveau sur leurs propres écrits. En un mot, cela les a « reboostés »

    F comme festival bien sûr ! Que dire sinon merci et bravo aux organisateurs qui nous offrent tous les ans cette tranche de rêves dans nos vies. Tout était parfait, le décollage vers l’imaginaire s’est déroulé sans fausse note. Seul l’atterrissage s’est révélé délicat, car un an c’est long, très long.

    G comme guerre : avec en marge du salon du livre, une reconstitution historique plus vraie que vraie de la vie d’un soldat lors du conflit contre l’empire Austro-Hongrois. Des combattants en tenue, croisés au détour des allées m’est restée une question : mais pourquoi allaient-ils sur le champ de bataille vêtus comme à la parade ? C’était pour faire des cibles parfaites ?

    H comme histoire : nous nous sommes retrouvés plongés dans le Siècle des lumières avec des personnages costumés comme à cette époque. Du rêve, encore du rêve avec des crinolines, des corsets, des perruques aux coiffures alambiquées, des fracs et des chapeaux haut-de-forme. Je garde une pensée émue pour ces personnes qui ont dû souffrir sous le soleil du samedi après-midi.

    I comme imitations : Je mets au défi quiconque d’en savoir plus que Siècle, Any et Alaric sur les films de Walt Disney. Le vendredi soir, la mare s’est déplacée dans une crêperie et nous avons eu le droit à un concert improvisé de toutes les chansons des films de WD avec en prime le ton et les imitations d’Alaric. Ma préférence va au homard (je suis désolée, je ne me rappelle plus son nom) dans la petite sirène.

    J comme jeux : jeux de rôles, jeux de figurines,  jeux de cartes à collectionner. Il y en avait pour tout le monde avec des tournois, des démonstrations. Les passionnés n’ont pas mis le nez dehors.

    K comme Kiwi !!! Bof, pas génial, mais je n’ai rien trouvé d’autres. Juste pour dire que ceux du petit déjeuner à l’hôtel n’étaient pas mûrs. Dommage c’est plein de vitamines et cela m’aurait donné du peps pour la journée.

    L comme livres : ce salon étant dédié à la littérature de l’imaginaire, la première impression en entrant sous la « bulle du livre » est celle ressentie par un enfant lâché dans un magasin de jouets ou de bonbons. Il y en avait partout, le paradis ! Difficile de ne pas perdre la tête devant cette abondance de rêves, d’aventures, de dépaysements portée par des écrivains souriants et disponibles pour en parler. Après, il faudra expliquer au mari ou au banquier pourquoi la carte bleue s’est affolée d’un coup comme ça sur quelques jours, mais tant pis cela en valait la peine.

    M comme maquillage avec un stand spécialement réservé à celles et ceux qui en avaient envie (ou le courage, que je n’ai pas eu pour ma part. Pourtant, ces dames ont réalisé de magnifiques maquillages). Non, je ne parle pas des deux superbes jeunes femmes qui ont été peintes de la tête aux pieds et qui nous ont donné un aperçu de ce que pourrait être la sensation d’évoluer parmi des êtres venus d’ailleurs. Un petit maquillage facial m’aurait suffi.

    N comme Nadia : une petite dédicace perso pour te dire que Camille a adoré ton mot sur le tome 1 des « Yeux de l'Aigle» que je lui ai offert hier. Elle t’en remercie. Elle s'est précipitée dans sa chambre avec. Je ne l’ai aperçue qu’au repas du soir où je n’ai eu droit qu’à un « j’adore » avant qu’elle ne retourne bouquiner. Je ne lui ai pas annoncé que le tome 2 ne sortait qu’en septembre, à mon avis cela ne va pas lui convenir du tout !

    O comme occasion : ce festival est aussi une opportunité (tiens j’aurais pu également mettre ce mot en « comme ») pour des auteurs dont le roman est achevé de partir en quête de l’éditeur qui saura entrer en osmose (encore un) avec eux. Il y a un véritable dialogue, des conseils et parfois des promesses de contact à venir qui se sont échangés.

    P comme pique-nique du samedi : le point fort en émotions de ce festival. Réunion au sommet des grenouilles et d’autres passionnés sans une once de sang batraciens en eux, mais géniaux tout de même. Autour de spécialités de toute la France, c’est le moment privilégié pour échanger, faire connaissance, se découvrir des affinités. Certaines grenouilles ont prolongé l’instant par une sieste à l’ombre des grands arbres du magnifique parc où se déroulaient les Imaginales.

    Q comme « Quel talent ! » Je sais, certains vont penser : « aurait pu faire mieux », mais je n’ai pas trouvé et je tenais à parler de ces artistes peintres qui ont passé leurs journées à réaliser une superbe fresque murale. C’était impressionnant de voir ces personnages et ce paysage prendre forme sous leurs mains. Pas un dérapage, pas une fausse note. Chapeau bas !

    R comme Rire ou mieux fou rire. Vous avez deviné, je vais vous parler de Blackwatch, mais cette année elle a trouvé son alter ego en la personne de Siècle Vaëlban. Mettez-les ensemble et plus personne alentour ne résistera à leur joie si communicative. Any et Alaric assis juste en face d’elles au restaurant n’ont pas réussi et ont eu bien du mal parfois à ne pas s’étouffer avec ce qu’ils venaient de manger ou boire.

    S comme speed dating. Celia et Elikya sont devenues de plus en plus pâles au fur et à mesure que l’instant fatidique approchait. Takisys semblait moins fébrile, mais elle cachait peut-être simplement mieux ses émotions. Un peu d’angoisse pour elles pendant leur absence, mais leur sourire et leur air satisfait donné par la sensation d’avoir fait ce qu’il fallait, a levé toutes mes inquiétudes. Je croise les doigts pour elles. Elles ont osé, ont mis leurs peurs en veilleuse et du coup on fait le nécessaire pour mettre tous les atouts de leur côté. Bravo !

    T comme Thomas John : Eh oui Thomas, c'est ton tour. Je pourrais bien sûr dire que je suis ravie d’avoir en ma possession « De sang et de larmes » suite de « la Cité Noire », mais ce n’est pas de ça que je veux parler. Je tenais simplement à confirmer que tu es une vraie grenouille, car je t’ai croisé au moins une fois, que ce soit ici ou à la convention, te dirigeant vers un plan d’eau (jacuzzi, piscine…). Est-ce qu’en cas de manque de baignade, tu te transformes ? … et en quoi ?

    U comme unique, comme CoCyclics. Qui d’autre mériterait cet adjectif ? Qui le porterait mieux ? Personne, à mon avis. Comment expliquer le lien créé par ce forum, ce collectif, cette association de passionnés ? Par quelques mots qui parlent d’eux-mêmes : amitié, entente, soutien, famille. Autant de valeurs qui ont pris encore toute leur ampleur dans cette réunion.

    V comme Voyage de retour : beaucoup moins drôle. Même le temps s’était adapté : il tombait des trombes d’eau quand nous sommes parties. C’est vraiment un moment pénible, heureusement qu’un salon de thé parisien nous attend dans deux semaines, cela aide un peu à supporter la séparation.

    W, X, Y comme rien du tout, je suis à court d’imagination. Toutes les idées sont les bienvenues…

    Z comme Z’êtes des Zamours : Je vous l’ai dit je suis en panne, n’empêche que je le pense très fort. J’ai passé un super week-end, deux jours qui resteront en bonne place dans mes souvenirs comme tout ce qui touche aux grenouilles. Encore un immense merci aux organisateurs de ce fabuleux festival !